Liste des ouvriers de Nolet, coupures de Presse,album photos...
Liste des familles qui ont travaillé au domaine de Nolet :
Direction du domaine :
Robert Germain, Catherine Chini-Germain, Jean-Pierre Averseng, Raymond Petit (à partir de 1965 directeur des vergers d'Aquitaine), Monsieur Baille, Henri Ollivier, René Coint.
Les familles Italiennes :
Abella : arrivée en 1941
Ambrosio : Olive, Roger(champs ? USINE ?) et Gilbert (dans les champs)
Azzopardi : Pierre et Sauveur (conducteur de tracteur)
Bardi : champs en saison et à l’usine
Boraso : Gabriel (dans les champs)
Carollo : (mécano)
Chiabo: Maurice ( dans les champs)
Conte : champs ?
Copetti : (Dans les champs)
Courette : (forgeron)
Dario :
Debiasi : Paulette (usine)
Decorte : Guy, Pierette (manutention), Nicole (manutention) et Claude
Delpech: Christiane
Demari : (dans l'usine)
Fabris : Augusta (personnel du château)
Faure: Pilar (dans les bureaux)
Guilardi : Georgette, Joséphine
Morgante : Robert (champs et usine)
Morillo: Jean (dans les champs)
Navarro: Bernard (dans les champs)
Noguères : Jean (chef)
Paolpi : Paolo (Agriculteur-Laitier arrivé à Nolet avec sa famille en 1935), Domenica, Sylvain, Emile, Jeannot, Elvire Paolpi-Melac (Employée au château), Bambine
Paolpi-Begue : Anne-Marie
Pugliese :
Pulicani : (famille arrivée, depuis le domaine de Kéroulis en Algérie, en 1941 à Nolet)
Querin :
Reginato : Simone (champs et usine)
Sido : Michel (directeur)
Soterro: Christine
Svaldi: Angéle (manutention)
Tortelli : Lucien, Jeannine et François
Valdare : Jacques (responsable d’usine)
Valena: Mr (chef de station)
Zabotti : Rina et Mireille (dans les bureaux) et Guy (dans les champs)
Versolato: Marie (manutention)
Zaminer : Reinso (habite Grenade)
Les familles françaises :
Arbus: Renée
Aussenac: Marie
Balzame : Philippe
Bégué: Maryse et Michel
Bernés: Gilbert et Alain
Bourthoumieux: Hervé ( dans les champs)
Brouillon: Monsieur et Louise
Carol : Jean (mécano) et Mauricette
Caron : (usine)
Christin : Yvette (usine)
Combes: Hubert (cariste)
Coureau: Jean-Pierre: habitait à Rabaud)
Courette : (Forgeron)
Dardier: Elise (1953 à 1955)
Devaux : Simone
De France: (chef de station)
Diague: Germaine
Fagé : Marguerite
Feresin:
Foulquié: Hubert (forgeron)
Fraysse:
Gendre:
Geromel: (frigo)
Gesse: Claudie (manutention)
Gonceau : Emilienne (1964)
Granie: Michelle et Bernard (manutentionnaire)
Guionnet: Micheline
Labadie: Juliette (manutention)
Laveron: Lucien et Michelle (Rabaud puis Jantête de 1972 à 1994)
Loste :
Magné:
Marmouget : (entretien du matériel)
Mességué: Alberte et George (dans les champs)
Meunier: Christianne
Ner : Jeanine (chef de station) et Jean-François (comptable)
Nespoulous : (famille arrivée, depuis le domaine de Kéroulis en Algérie, en 1941 à Nolet)
Nicto: Jean-Pierre (dans les champs)
Ollivier : André (Géomètre)
Pacaud: Claudie
Pagès: Jeanine (dans les bureaux)
Petit : Raymond (directeur), Maurice, Jacqueline, Monique, Claude, Guy
Pilon: Yolande
Rougier : (le vétérinaire)
Roux: Paquerette (manutention)
Sabaté: Annie (dans les bureaux)
Sola : Antoine
Soum : Maurice, Michel, Chantal
Tessier: Paul (dans les champs)
Tissinié :
Valdar :
Vigneaux: Jeannot
Virgulin Micheline: au château
Wadhart :
Familles espagnoles :
Alvez: Alzina et Jean (dans les champs)
Dominguez: Jean (dans les champs)
Perez: Antoine (cariste) et Felix (dans les champs)
Segarra : Louise (cantinière) et jacques (chef de l'usine, famille arrivée, en Alger, en 1941 à Nolet)
Guardiola : Gérard
Rodriguez: Carmen
Ruiz:
Coupures de presse :
La dépêche du Midi de 1980: Nolet fêtes ses médailles
Au domaine de Nolet, on fêtait, dernièrement, neuf des membres du personnel décorés en ce jour de la médaille du travail.
Le domaine de Nolet, grande exploitation fruitière et céréalière de plus de 200 hectares, situé aux portes de Grenade et du Tarn-et-Garonne, emploie en permanence soixante-dix personnes, près de cent trente avec les saisonniers lors des récoltes, ce qui place parmi les premiers employeurs du secteur agricole de Tarn-et-Garonne, pommes, prunes, noix, céréales et maintenant la culture des pleurotes, sont les produits principaux de cet établissement dont on fêtera bientôt le cinquantenaire.
Mais aujourd’hui c’est la fête comme le soulignait monsieur Boué, inspecteur départemental du travail qui devait féliciter les récipiendaires, qui par leur sérieux et leur conscience professionnelle ont mis en valeur cet outil de travail, fruit de collaboration d’un ensemble et participé aux améliorations des conditions de travail.
Pour chacun des médaillés, monsieur Henry Ollivier, le directeur du domaine avait noté un petit mot plein d’humour fort sympathique et chacun apprécia. Ainsi, au fil des commentaires apportés par monsieur Boué ou monsieur Ollivier.
Liste des médaillés :
François Tortelli : plus de quarante ans d’ancienneté dans la maison « c’est une institution ;aussi ancien que la plus ancienne des plantations ». Médailles d’or
Monsieur Azzopardi : arrivé au domaine en 1956. Près de trente années d’ancienneté, conducteur très consciencieux de tracteur. Médaille d’argent
Olive Ambrozio : depuis l’âge de 16 ans à été au domaine, c’est « monsieur pruneaux ». Spécialisé également dans la réhydratation, le greffage et la taille. Médaille de vermeil
Elvire Melac : entrée domaine dès son plus jeune âge, cuisinière à la cantine où elle fit des plats succulents avec peu de chose. Médaille d’or
Monsieur Wahdhart : Près de trente-cinq ans de services à l’entretien où il est toujours très méticuleux.Ici , ttous l’appellent « tonton ». Médaille de vermeil
Monsieur Boraso : participe aux traitements. Grâce à toutes ses notes, on le surnomme à juste titre « monsieur météo ». Sujet d’une petite parenthése pour rappeler qu’en 1948, on effectuait dans les vergers six traitements. Combien sont nécessaires aujourd’hui ? Une quinzaine. Monsieur Boraso participa aussi très efficacement à tous les travaux de drainage. Médaille de vermeil
Monsieur Conte : travaille à l’atelier depuis de nombreuses années. Un ouvrier très consciencieux. Médaille d’argent
Roger Ambrosio : trente-cinq ans de service pour « l’amiral de la flotte » qui a résolu de multiples problèmes d’irrigation. Responsable également du vieux vergers (taille, équipes). Médaille vermeil
Madame Ner : A la station de conditionnement, où elle a su s’attacher à son travail et faire reconnaître ses qualités . S’occupe aussi de l’administration. Médaille d’argent
« Félicitaton encore tous ces médaillés et remercions la direction du domaine de nolet pour l’amicale réception organisée à l’issu de cette remise de récompense ».
La dépêche du Midi : remise de médailles d’honneur agricole
A la demande des responsables du domaine de Nolet, à Aucamville. On été remis les médailles d’honneur agricole à deux salariés qui prennent leur retraite.
C’est ainsi qu’ont été rappelés les bons et loyaux services de Marguerite Faget, dont la conscience professionnelle pendant près de trente ans a été exemplaire pour tous, son travail fait avec célébrité et conscience étant toujours à la limite de ce que l’on peut réaliser de mieux.
Les mérites de Louis Abella ont été également évoqués, l’intéressé se signalant par une capacité et une conscience professionnelle digne d’éloges puisque sa tâche était pour lui plus un art qu’un métier, s’astreignant à faire des labours dont il avait la charge, un travail parfait à tous égards. Sa conscience professionnelle était telle que l’heure pour lui compter moins que la finition d’un chantier dans les délais impartis afin que les cycles des travaux successifs ne puissent en souffrir.
Monsieur Boué tint à s’associer aux compliments de l’employeur à l’égard de collaborateurs dont la joie de vivre et de travailler mérite d’être citée en exemple comme témoignage de la solidarité qui unit les travailleurs à une entreprise où les problèmes des salariés sont placés au premier plan des préoccupations des responsable soucieux d’une application réelle des textes sociaux, tant dans le cadre du comité d’hygiène et de sécurité et des conditions de travail. Il n’est pas inutile, en effet, de signaler que le domaine de Nolet ainsi que ceux qui lui sont rattachés est le en Tarn-et-Garonne à avoir créé un emploi de prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles chargé de l’amélioration des conditions de travail des ouvriers.
Sur le plan de l’emploi, on constate que les 313 hectares cultivés dont 177 en arbres fruitiers permettent l’emploi de cinquante saisonniers. A une époque où l’emploi est une préoccupation essentielle de notre société, il est nécessaire de signale les efforts des entreprises de ce type, qui permettent l’embauche d’un maximum de travailleurs où les conditions de vie et de travail sont les meilleurs que l’on puisse rencontrer dans les exploitations agricoles. Il ne faut tout de même pas oublier non plus que nous devons tout cela à Robert germain qui, en 1941 a su faire renaître cette ferme qui est aujourd’hui les « les Vergers d’Aquitaine », de renommée mondiale, puisque nos fruits s’expédient à l’étranger.